Le livre blanc
« Ce Livre blanc s’adresse à tous ceux et à toutes celles qui ont choisi de servir la défense et la sécurité nationale. Il concerne aussi tous les Français qui sont au cœur de cette nouvelle stratégie et sont appelés à y prendre une part décisive. »Préface de Nicolas Sarkozy, président de la République.
Pour en savoir plus :
Commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale
Commandez. 18 €
Paris, Odile Jacob, 2008; in-8, 14,5 x 22 cm, broché, 336 pages.
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Gérard Chaliand
Pour en savoir plus :
Commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale
Commandez. 18 €
Paris, Odile Jacob, 2008; in-8, 14,5 x 22 cm, broché, 336 pages.
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Gérard Chaliand
Le nouvel art de la guerre
" Si tu ne connais ni ton adversaire ni toi-même, à chaque bataille tu seras vaincu", écrivait Sun Tzu, voici vingt-cinq siècles, dans L'Art de la guerre.
On ne peut dire que les guerres d'Irak et d'Afghanistan aient été engagées avec une vraie connaissance culturelle de l'adversaire. Aussi grave, mais plus paradoxal: les sociétés occidentales, croyant bien se connaître, mesurent mal leurs propres transformations et les conséquences militaires qui en découlent.
Ainsi, depuis plusieurs décennies, l'hémisphère Nord accuse un recul démographique, tandis que l'épicentre des conflits paraît de plus en plus se situer dans les opinions publiques, qui les veulent brefs et victorieux. La sensibilité d'une population vieillissante supporte mal les pertes militaires. Or, les guerres dites asymétriques sont, par nature, des guerres d'usure.
Des troupes occidentales peuvent-elles, aujourd'hui, gagner des guerres irrégulières? Ont-elles encore intérêt à intervenir massivement ? De nouvelles stratégies prévaudront-elles demain ? Autant de questions que pose cet essai pour repenser l'art éternel de la guerre.
Gérard Chaliand est spécialiste des conflits et ses enquêtes de terrain lui ont fait partager, durant plusieurs années, l'expérience de luttes armées en Asie, en Afrique et en Amérique latine, comme, tout récemment, en Irak et en Afghanistan. Il a enseigné à l'ENA et au Collège Interarmées de Défense, à Harvard, à Berkeley, ainsi que dans nombre d'autres universités étrangères. Il a contribué, par ses Atlas (avec J.-P. Rageau), au regain d'intérêt pour la géopolitique. Ses ouvrages militaires ( L'Amérique en guerre, Le Rocher, 2007; Histoire du terrorisme, Bayard, 2004 ) illustrent une approche nouvelle des questions de stratégie et des guerres irrégulières.
Commandez. 15.95 €
Paris, Archipel, 2008; in-8, 14 x 22,5 cm, broché, 160 pages.
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Jean-François Susbielle
Les royaumes combattants. Vers une nouvelle guerre mondiale
Sept royaumes se partagent le monde. Pour quatre d'entre eux, la mondialisation capitaliste ne présente que des avantages. Car c'est écrit, dans 10 ans, 15 ans tout au plus, la Chine, l'Inde, mais aussi le Brésil et la Russie domineront le monde de leur puissance financière, industrielle, technologique et militaire. Le temps joue irrésistiblement en faveur des royaumes émergeants. La Chine et l'Inde n'ont besoin que d'une décennie supplémentaire de paix et de stabilité pour que s'accomplisse leur destin.
En revanche, pour les USA et leurs alliés européens ou japonais, le temps est devenu un ennemi mortel, synonyme d'affaiblissement et de déclin. Le compte à rebours a commencé. Pour survivre dans un monde en mutation accélérée, l'Amérique doit impérativement rompre le statu quo que lui imposent ses rivaux. Forte de sa seule supériorité militaire, elle s'est mise à fabriquer du désordre : Kosovo, Afghanistan, Irak, Iran... Un désordre qui lui permet de garder la main et de se préparer pour les échéances à venir. En 2001, le monde est entré dans l'ère des " royaumes combattants ".
A la tête de " l'Occident chrétien ", les États-Unis mettent sur pied une alliance planétaire avec un Japon qui entend conserver sa suprématie en Asie de l'Est. L'Inde se rapproche des USA pour faire contrepoids à la Chine, alors que la Russie et le Brésil sont en embuscade. Quant à l'Europe, royaume virtuel à la souveraineté limitée, son destin ne lui appartient déjà plus. La crise financière qui s'annonce sera, dit-on, la plus grave depuis celle de 1929 qui précéda le second conflit mondial. L'engrenage qui, de la dépression conduit au protectionnisme et à la guerre, est hélas bien connu. Alors, 2008 sera-t-elle l'année charnière qui verra se fissurer le fragile équilibre de la mondialisation ?
Jean-François Susbielle, expert en géopolitique et consultant stratégique auprès de grands groupes, est l'un des meilleurs spécialistes de la vie internationale. Fin connaisseur de l'Asie, il observe depuis plus de 20 ans l'émergence de la Chine et de l'Inde, et ses conséquences pour l'équilibre du monde. Après Chine-USA : la guerre programmée et La Morsure du dragon, son nouvel essai de géopolitique propose une analyse originale et sans concession de la situation de la planète.
Commandez. 19.90 €
Paris, Editions Générales First, 2007; in-8, 15 x 23 cm, broché, 550 pages.
" Si tu ne connais ni ton adversaire ni toi-même, à chaque bataille tu seras vaincu", écrivait Sun Tzu, voici vingt-cinq siècles, dans L'Art de la guerre. On ne peut dire que les guerres d'Irak et d'Afghanistan aient été engagées avec une vraie connaissance culturelle de l'adversaire. Aussi grave, mais plus paradoxal: les sociétés occidentales, croyant bien se connaître, mesurent mal leurs propres transformations et les conséquences militaires qui en découlent.
Ainsi, depuis plusieurs décennies, l'hémisphère Nord accuse un recul démographique, tandis que l'épicentre des conflits paraît de plus en plus se situer dans les opinions publiques, qui les veulent brefs et victorieux. La sensibilité d'une population vieillissante supporte mal les pertes militaires. Or, les guerres dites asymétriques sont, par nature, des guerres d'usure.
Des troupes occidentales peuvent-elles, aujourd'hui, gagner des guerres irrégulières? Ont-elles encore intérêt à intervenir massivement ? De nouvelles stratégies prévaudront-elles demain ? Autant de questions que pose cet essai pour repenser l'art éternel de la guerre.
Gérard Chaliand est spécialiste des conflits et ses enquêtes de terrain lui ont fait partager, durant plusieurs années, l'expérience de luttes armées en Asie, en Afrique et en Amérique latine, comme, tout récemment, en Irak et en Afghanistan. Il a enseigné à l'ENA et au Collège Interarmées de Défense, à Harvard, à Berkeley, ainsi que dans nombre d'autres universités étrangères. Il a contribué, par ses Atlas (avec J.-P. Rageau), au regain d'intérêt pour la géopolitique. Ses ouvrages militaires ( L'Amérique en guerre, Le Rocher, 2007; Histoire du terrorisme, Bayard, 2004 ) illustrent une approche nouvelle des questions de stratégie et des guerres irrégulières.
Commandez. 15.95 €
Paris, Archipel, 2008; in-8, 14 x 22,5 cm, broché, 160 pages.
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Jean-François Susbielle
Les royaumes combattants. Vers une nouvelle guerre mondiale
Sept royaumes se partagent le monde. Pour quatre d'entre eux, la mondialisation capitaliste ne présente que des avantages. Car c'est écrit, dans 10 ans, 15 ans tout au plus, la Chine, l'Inde, mais aussi le Brésil et la Russie domineront le monde de leur puissance financière, industrielle, technologique et militaire. Le temps joue irrésistiblement en faveur des royaumes émergeants. La Chine et l'Inde n'ont besoin que d'une décennie supplémentaire de paix et de stabilité pour que s'accomplisse leur destin.En revanche, pour les USA et leurs alliés européens ou japonais, le temps est devenu un ennemi mortel, synonyme d'affaiblissement et de déclin. Le compte à rebours a commencé. Pour survivre dans un monde en mutation accélérée, l'Amérique doit impérativement rompre le statu quo que lui imposent ses rivaux. Forte de sa seule supériorité militaire, elle s'est mise à fabriquer du désordre : Kosovo, Afghanistan, Irak, Iran... Un désordre qui lui permet de garder la main et de se préparer pour les échéances à venir. En 2001, le monde est entré dans l'ère des " royaumes combattants ".
A la tête de " l'Occident chrétien ", les États-Unis mettent sur pied une alliance planétaire avec un Japon qui entend conserver sa suprématie en Asie de l'Est. L'Inde se rapproche des USA pour faire contrepoids à la Chine, alors que la Russie et le Brésil sont en embuscade. Quant à l'Europe, royaume virtuel à la souveraineté limitée, son destin ne lui appartient déjà plus. La crise financière qui s'annonce sera, dit-on, la plus grave depuis celle de 1929 qui précéda le second conflit mondial. L'engrenage qui, de la dépression conduit au protectionnisme et à la guerre, est hélas bien connu. Alors, 2008 sera-t-elle l'année charnière qui verra se fissurer le fragile équilibre de la mondialisation ?
Jean-François Susbielle, expert en géopolitique et consultant stratégique auprès de grands groupes, est l'un des meilleurs spécialistes de la vie internationale. Fin connaisseur de l'Asie, il observe depuis plus de 20 ans l'émergence de la Chine et de l'Inde, et ses conséquences pour l'équilibre du monde. Après Chine-USA : la guerre programmée et La Morsure du dragon, son nouvel essai de géopolitique propose une analyse originale et sans concession de la situation de la planète.
Commandez. 19.90 €
Paris, Editions Générales First, 2007; in-8, 15 x 23 cm, broché, 550 pages.
L’Union européenne intervient dans des domaines toujours plus nombreux, s’élargit à de nouveaux États membres, rénove ses institutions, mais reste mal connue et mal comprise par les Européens. Peu d’entre eux sont au courant des réussites de l’Europe ou de l’ampleur de leurs retombées sur leur vie quotidienne. Cet ouvrage donne au lecteur les clefs nécessaires pour répondre à des questions essentielles. À quoi sert l’Union européenne ? Comment s’y répartissent les responsabilités ? Peut-on influer sur les décisions prises au niveau européen ? Il propose au lecteur de parcourir avec précision, mais sans excès technique, les principaux enjeux de la construction européenne. Cet ouvrage est destiné à tous ceux qui souhaitent mettre à jour ou approfondir leurs connaissances sur l’Europe. Il conviendra en particulier aux étudiants de l’enseignement supérieur, mais il s’adresse plus largement à tous les citoyens qui veulent comprendre l’histoire, les rouages et les enjeux d’une Union dont l’influence sur la vie politique et économique est considérable.
Cet ouvrage propose un bilan de la réussite économique de l'Irlande à partir des années quatre-vingt-dix.
Le développement durable fondé, au niveau local, sur l'élaboration d'un contrat de gestion du territoire.
Pourquoi le combat pour la conservation de la biodiversité est-il capital ? Parce que le réchauffement de la planète, les changements climatiques, la destruction des habitats mettent en danger les écosystèmes et les espèces animales et végétales. Le déclin des espèces représente non seulement une perte esthétique, mais aussi la disparition de données génétiques irremplaçables. Aujourd’hui, quelles sont les régions les plus vulnérables dans le monde ? Quelles espèces se trouvent menacées ou en voie de disparition ? Quelles solutions sont mises en œuvre pour préserver la planète ?
Comment aujourd’hui concilier productivité accrue, respect de l’environnement et souci de l’équité entre les hommes ?
C'est le plus grand scandale de notre siècle : 854 millions de personnes souffrent de sous-alimentation sur notre planète. Et 24000, dont 18000 enfants, meurent chaque jour de la faim ou de ses conséquences. Pourquoi en sommes-nous encore là ? Ce livre s'appuie notamment sur les analyses d'Action contre la Faim pour exposer comment des populations entières basculent dans la malnutrition. Celle, quotidienne et ordinaire, qui tenaille les paysans et les habitants des bidonvilles des pays en développement. Et celle qui, dans sa phase aiguë - dont les images chocs nous sont, hélas, familières -, décime plus particulièrement les enfants. Autrefois soumises aux aléas du climat, les victimes contemporaines de la faim sont désormais menacées par de nouvelles formes de famines, auxquelles la main de l'homme n'est pas étrangère : le réchauffement climatique, qui pousse les éleveurs des steppes mongoles vers les villes ; les conflits ethniques, qui chassent les civils vers les camps de réfugiés ; la libéralisation des échanges mondiaux, qui paupérise les paysans du Sud. Autant de processus qui engendrent des catastrophes pas vraiment naturelles. Nous entrons dans l'ère des "famines post-modernes". Face à cette injustice, États et ONG se mobilisent. Mais cela ne suffit pas. En 2000, l'ONU s'est engagée à réduire, d'ici 2015, de moitié la population qui souffre de la faim. Le pari est possible. Sera-t-il tenu ?
Deux milliards de personnes souffrent de sous-alimentation chronique et dix-huit millions meurent chaque année de pathologies liées à la faim alors que l’on produit 356 kilogrammes de céréales par personne et par an, quantité amplement suffisante. Nourrir les six milliards d’habitants de la planète reste toujours aujourd’hui une question prioritaire. Les habitants des pays riches exigent abondance, choix et qualité, quand d’autres - en Afrique notamment - meurent de faim. Comment expliquer cette situation ? À l’heure où la production totale de céréales couvre largement tous les besoins de la planète, comment justifier l’existence persistante de carences alimentaires ? Rééquilibrer cette production en déplaçant son centre de gravité des pays actuellement surproducteurs vers ceux où les hommes sont sous-alimentés est l’un des enjeux du XXIe siècle. Mais un autre défi est à relever : les nouvelles technologies, qui promettent d’accroître la production alimentaire, doivent désormais prouver qu’elles ne nuisent pas à la santé du consommateur.
Si la mer, vue du rivage, continue à " danser le long des golfes clairs ", sous la surface, c'est une tragédie qui se joue : à force d'être mangée par l'homme, la mer se meurt. En l'espace d'un siècle et demi, loin des regards, des ressources qu'on pensait inépuisables ont été poussées au bord de l'effondrement par une surpêche qui prélève plus de cent millions de tonnes de poissons par an dans le monde. En pêchant toujours plus loin, toujours plus profond, et à présent toujours plus " petit ", l'homme est en train de transformer les océans du globe en désert liquide. Des bateaux et des technologies toujours plus performants ne laissent aucune chance aux poissons. Du bateau-usine à la pirogue, toutes les embarcations capturent des espèces réputées inaccessibles ou non consommables. Le pillage est systématique et aveugle, car il est particulièrement difficile de sélectionner les espèces capturées. A ce rythme, ce sont des maillons entiers de la chaîne alimentaire marine qui ont déjà été rayés de la liste du vivant, avec comme conséquence, à terme, une déstabilisation inquiétante de tout l'écosystème marin. L'effondrement brutal et irréversible des ressources halieutiques n'est plus une hypothèse fantaisiste. Que font les pouvoirs publics ? Si peu, alors qu'il faudrait une mobilisation générale. On cherche en vain les prémices d'une gouvernance mondiale, seule à même de rétablir la productivité des océans. Et la plupart des pays redoutent de se mettre à dos leurs pêcheurs, la France plus que tout autre... Une mer sans poissons est un état des lieux d'autant plus alarmant qu'il est factuel, et qu'il s'appuie sur une documentation très complète et souvent inédite en français. Après l'avoir lu, on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas.
Cet ouvrage rassemble les actes d'un colloque qui s'est tenu à Nantes en janvier 2004 et qui a réuni plus d'une centaine de personnalités parmi les meilleurs spécialistes de la pêche et de l'aquaculture. En quatre parties et quarante chapitres, il permet d'aborder les questions essentielles auxquelles est affronté lé monde à l'aube du XXIe siècle : pillage réel ou supposé des ressources vivantes de l'océan, réponses politiques aux premiers rangs desquelles est examinée la politique commune de la pêche, développement de l'aquaculture, nouveaux enjeux pour le développement et la gestion des territoires littoraux. Nous sortons d'une double période : celle dans laquelle l'aquaculture n'assurait encore qu'une part limitée des protéines d'origine aquatique, celle qui, par voie de conséquence, a vécu un véritable rush sur les ressources marines que les pays riches ont eu tendance à monopoliser en les achetant à bon prix sur le marché mondial ou en lançant de grandes flottilles à l'assaut de l'océan, quitte à signer des accords bilatéraux avantageux avec les pays riverains. De ce point de vue, le nouveau Droit International de la Mer, issu de la convention de Montego Bay, a joué un rôle ambigu, en préservant les intérêts des uns, tout en donnant l'impression de satisfaire ceux des autres. Pour être vivable, le monde futur doit nous faire oublier ce temps de l'accaparement pour entrer dans celui du partage. Ce livre, en apportant quelques bases d'informations solides et en dressant quelques pistes pour un réel développement durable de la planète, cherche modestement à y contribuer.
Océans arctiques, indien, ou mer de Chine… La diversité des océans et des mers est grande, des rivages aux profondeurs abyssales, des pôles à l’équateur. Tous réunis, ils recouvrent les trois quarts de notre planète et constituent un milieu qui régule le climat, intervient dans le cycle de l’eau et influe sur la composition de l’air que nous respirons.